Les jours passent sans relaches,
J'attends c'est instant, ou les gens non chalants
Vont realiser la beautée, de leurs années passées.
Ils vont enfin laisser s'exprimées leurs pensées
Et sans se detournée de leurs idées,
Rediger leurs cahiers, sans chercher a inventé,
Ni embellir leurs souvenirs d'un été.
Qui va finir par mourir, pour laisser place aux octotones
D'autonme, qui sonne de leurs trombones
Cette saison monotone
Qui annonce d'un revers l'arrivé de l'hiver.
Ou même Prevers nous faisait ses vers
En attandant le printemps qui se defends
Quand ont pretends qu'il est le temps des gens non chalants.